Fadila Khattabi Mari

Fadila Khattabi Mari – Députée de la troisième circonscription de Côte d’Or, si elle débute sa carrière politique au sein du PS, a rejoint le camp présidentiel en 2017. Geneviève Darrieusecq est remplacée par elle. Le dévouement d’Aurore Bergé à la Macronie aura payé. Fadila Khattabi, députée de Côte d’Or, a prêté serment en tant que membre de l’administration Borne III le jeudi 20 juillet 2023. Le nouveau ministre délégué au Handicap est celui qui a dirigé pendant plus de trois ans la commission des affaires sociales de l’Assemblée nationale en tant que président. Après près d’un an à ce poste, elle succède à Geneviève Darrieusecq.

Il y a un long chemin entre le service de sécurité présidentiel et le parti présidentiel

Cette professeur d’anglais de 61 ans a commencé sa carrière politique à gauche en tant que membre du PS, mais elle est ensuite passée à La République en marche (LREM) d’Emmanuel Macron, rebaptisée Renaissance en 2022. En juin 2017, Fadila Khattabi s’est présentée et a été élue députée de la troisième circonscription de la Côte-d’Or avec cette désignation.

Au bout de trois ans, elle devient présidente (LREM) de la commission des affaires sociales, lui donnant encore plus de pouvoir au sein de l’hémicycle. En tant que ministre déléguée à l’Autonomie, elle succède à Brigitte Bourguignon, qui venait d’être nommée à son poste au sein du cabinet Castex.

Au cœur de tout ce qui entoure les changements de retraite

Fadila Khattabi s’est fait un nom dans le dossier des retraites, tout comme Philippe Vigier, qui a également récemment rejoint le cabinet en tant que ministre de l’outre-mer. En effet, la députée faisait partie de la commission paritaire qui a créé la version finale de la loi de réforme des retraites en mars 2023, comme le rappelle France 3 Côte-d’Or, où elle a reconnu sa position dans le cadre du remaniement.

Des menaces et une plainte officielle ont été déposées par ce natif de Montbéliard à une époque de méfiance généralisée dans la communauté. Fadila Khatabbi, députée de la troisième circonscription de Côte-d’Or, est rentrée dimanche d’Algérie après y avoir accompagné le président Emmanuel Macron. Les relations entre les deux pays sont tendues depuis l’automne dernier et l’objectif de la délégation était d’apaiser ces tensions.

L’élu local passe en revue les papiers essentiels de la visite de trois jours. Le président Emmanuel Macron a qualifié la visite de quatre jours d’une équipe française en Algérie d'”excellente et réussie”. Le voyage a commencé le jeudi 25 août et s’est terminé le samedi 28 août. Et je l’ai ressenti aussi », a-t-elle déclaré. La délégation était composée de 90 membres, parmi lesquels des ministres, des législateurs et des personnalités du monde politique, culturel, sportif et religieux.

Fadila Khattabi Mari

Le 18 juin 2017, sous la bannière de La République en marche, Fadila Khattabi, ancienne vice-présidente socialiste du conseil régional de Bourgogne, a été élue députée de la 3e circonscription de Côte-d’Or. Roland Carraz, socialiste, représente depuis de nombreuses années la 3e circonscription, qui comprend une grande partie de l’agglomération dijonnaise.

Kheira Bouziane, la députée sortante du PS, s’est portée candidate. Elle n’a pas réussi à obtenir l’investiture socialiste et s’est présentée comme indépendante contre la candidate PS Anne Dillenseger. Tous deux ont perdu au tour préliminaire. Fadila Khattabi a obtenu 65,32 % des voix contre 34,68 % pour Jean-François Bathelier au second tour. Cette mère de deux enfants mariée est titulaire d’un master en anglais et a été élue pour la première fois au conseil régional en 2004 puis en 2010.

Après avoir tenté de former une liste dissidente socialiste affiliée au MoDem lors des élections régionales de 2015, elle a décidé de démissionner de la politique. Le 23 février 1962, Fadila Khattabi fait son entrée dans ce monde à Montbéliard. Elle a grandi dans le Doubs et a ensuite fréquenté l’Université de Dijon pour se spécialiser en anglais. Elle est liée au premier soutien d’Emmanuel Macron et ancien président de la région Bourgogne François Patriat.

Fadila Khattabi remplace Geneviève Darrieussecq au poste de ministre déléguée aux personnes handicapées au ministère des Solidarités et des Familles. Elle a commencé comme assistante de français dans un lycée de Manchester avant de passer à l’enseignement de l’anglais. Elle a siégé au conseil de Varois-et-Chaignot en même temps qu’elle a été élue et est devenue plus tard vice-présidente du conseil régional de Bourgogne.

Elle s’inscrit à La République en marche puis à la Renaissance après avoir débuté sa carrière politique en Côte-d’Or. Elle appartenait auparavant au Parti socialiste jusqu’à son passage à La République en marche. De 2004 à 2015, elle a été conseillère régionale de Bourgogne ; de 2010 à 2015, elle a été vice-présidente du conseil; depuis le 21 juin 2017, elle représente la troisième circonscription de la Côte-d’Or en tant que députée ; et depuis le 22 juillet 2020, elle préside la commission législative des affaires sociales. Le le 20 juillet 2023, elle succède à Geneviève Darrieussecq au poste de ministre déléguée aux personnes handicapées du gouvernement d’Élisabeth Bornes au ministère des Solidarités et des Familles, tenue par Aurore Bergé.

Histoire de la vie

Fadila Khattabi est éducatrice et fille de réfugiés algériens. Elle est actuellement étudiante à l’Université de Bourgogne. Elle est mère de deux enfants et heureusement mariée.

Participation et action du Parti socialiste

En 2002, Fadila Khattabi est devenue membre du Parti socialiste. Elle a obtenu un premier siège au conseil régional de Bourgogne en 2004, et après avoir été réélue en 2010, elle a été promue vice-présidente. Elle a tenté de constituer un ticket socialiste dissident affilié au Modem avant de quitter le PS et de s’écarter de la politique lors des élections régionales de 2015.

Fadila Khattabi, candidate contre Jean-François Bathelier du Front national aux élections législatives françaises de 2017 connues sous le nom de République en marche, a été élue au second tour avec 65,31 % des voix. Elle dirige le groupe d’amitié de l’Assemblée entre la France et l’Algérie depuis le 17 octobre 2017.

Elle est candidate à la présidence de la commission des affaires sociales lors de la prochaine élection à la majorité des postes en juillet 2019. Contrairement à Brigitte Bourguignon, elle s’en sort mal. Après avoir été nommée au cabinet de Jean Castex le 22 juillet 2020, Fadila Khattabi a été élue présidente de commission le même jour.

Elle a été réélue à la Chambre des représentants et au poste de présidente de la commission des affaires sociales lors des prochaines élections de 2022. Elle fait partie de la commission mixte paritaire qui achèvera d’écrire le concept de réforme des retraites que le cabinet Élisabeth Borne a présenté le 15 mars 2023. Aurore Bergé, la ministre des Solidarités et de la Famille, l’a nommée au poste de ministre déléguée aux Personnes handicapées le 20 juillet 2023, en remplacement de Geneviève Darrieussecq.

Une de ses anciennes collègues parlementaires à qui elle n’avait pas payé d’heures supplémentaires s’est vu octroyer 6 522,27 € par le conseil de prud’hommes de Dijon en juin 2023. Elle a été initialement élue au conseil régional en 2004 et réélue en 2010. Elle est mariée et mère de deux enfants et enseigne l’anglais. Elle a quitté la politique après avoir échoué à gagner du terrain lors des élections régionales de 2015 sur une liste alternative socialiste liée au MoDem.

Fadila Khattabi est née à Montbéliard le 23 février 1962. Elle étudie l’anglais à Dijon après avoir grandi dans le Doubs. Elle est proche de François Patriat, premier président régional parmi les premiers soutiens de Macron et ancien président de Bourgogne. Dans l’émission de radio La Chaîne Parlementaire, la députée de Côte d’Or et présidente de la commission parlementaire sur les questions sociales Fadila Khattabi (RE) a évoqué les menaces de mort qu’elle avait reçues.

Mes collègues et moi recevons régulièrement des lettres de menaces. Cette substance blanche dans le courrier est un grave danger pour ma famille et ma maison. Que nous ayons réduit à intimider les politiciens élus de notre nation est méprisable dans mon livre. Comme Fadila Khattabi, j’ai repensé au message de Madame Le Pen.

En effet, Marine Le Pen (RN), députée et présidente du groupe parlementaire national Rassemblement, a révélé lors d’une séance que certaines femmes du parti avaient reçu des messages vocaux prétendant leur dire qu’un de leurs enfants était hospitalisé alors qu’elles étaient opposées à la réforme voulue par Emmanuel Macron.

Marine Le Pen a déclaré que les femmes législatrices utilisaient des méthodes “distractives” en suggérant des révisions et en réécrivant le libellé. Fadila Khattabi, la représentante Côte d’Or du parti Renaissance à l’Assemblée nationale, présidera l’examen du document par la Commission des affaires sociales. Le Parlement français débattra du projet de réforme des retraites pendant 50 jours à compter du 6 février.

Le Conseil des ministres entendra le projet de loi lundi 23 janvier. Si le texte n’évolue pas avant l’arrivée d’Emmanuel Macron au Parlement, il “souhaiterait” que l’administration et le Parlement “ajustent” sa réforme, a déclaré dimanche le président français. N’empêchez pas les législateurs de faire leur travail. Cependant, il semble y avoir moins de controverse sur des changements fondamentaux, tels que le rapport sur l’âge obligatoire de la retraite.

Ce changement n’est pas motivé par un sentiment de générosité; elle est plutôt faite par sens du devoir envers nos concitoyens français. Avant tout, nous devons sauvegarder la solidarité intergénérationnelle sur laquelle repose notre système de retraite, comme l’affirme la proclamation du Congrès de la Renaissance.

Le Conseil consultatif sur la retraite, cependant, ne croit pas qu’enquêter sur les finances du système soit une priorité immédiate. Pour faire simple, « cela ne tient pas compte du vieillissement de la population », comme Fadila Khattabi le dit. De ce fait, il y aura plus de personnes âgées vivant avec moins d’argent. En conséquence, ni la réduction des pensions ni l’augmentation des impôts ou des cotisations d’assurance sociale n’ont été choisies.

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